Visite virtuelle des châteaux de Loire
Notre visite virtuelle des plus beaux châteaux de la Loire vous emmène à la découverte de la Touraine en 360°. De la confluence entre la Vienne et la Loire en passant par la ville de Tours, notre visite en 3D vous plonge au cœur de Villandry et ses jardins, des châteaux de Chenonceau, Amboise, Blois, Chambord et Villesavin. Depuis votre écran, partez en voyage dans la Touraine, le temps d’une visite virtuelle des plus beaux châteaux de la Loire. Sensations garanties !
Confluence entre la Vienne et la Loire
La Vienne, l’un des principaux affluents de la Loire, mêle ses eaux au Grand Fleuve à la hauteur du village de Candes-Saint-Martin. Entre Touraine et Anjou, les maisons et la collégiale de Candes racontent un sol, un terroir, une géologie. Là, posté au « bec de Vienne », regardez, respirez, écoutez Vienne et Loire, ce sont tous vos sens qui sont conviés…
Château et jardins de Villandry
En aval de Tours, sur la rive gauche de la Loire, là où le Cher vient se jeter dans le Grand Fleuve, se dresse le château de Villandry. C’est l’un des derniers châteaux Renaissance édifié au « jardin de la France ». Les jardins et parcs de Villandry sont inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco.
Tours
De part et d’autre de la rue Nationale, colonne vertébrale du centre-ville, le Tours historique conserve trois quartiers anciens magnifiquement préservés : le quartier de la cathédrale Saint-Gatien, le quartier Saint-Julien et le Vieux-tours et sa célèbre place Plumereau, sorte d’agora se déployant jusqu’aux bords de Loire. Voilà qui nous rappelle que le Vieux-Tours est né au Ve siècle autour du petit sanctuaire élevé sur le tombeau de l’évêque de Tours, Martin.
Château de Chenonceau
Diane de Poitiers et Catherine de Médicis se le sont disputé. Diane de Poitiers n’aura d’autres préoccupations que d’embellir l’édifice de fastes à la hauteur des fêtes qu’elle y organise. C’est ainsi que naît l’immense jardin-parterre, rive droite. Et le pont qui relie le corps de logis Bohier rive gauche du Cher. Catherine de Médicis, récupère Chenonceau à la mort d’Henri II en 1559.
Château d’Amboise
Le château d'Amboise est juché sur le promontoire du Châtelier au cœur de la ville. Pour bien embrasser le site, postez-vous sur la rive droite de la Loire. Vue sur la terrasse de Naples qui mène à l’aile Renaissance, la tour des Minimes qui abrite une rampe hélicoïdale de 21 m de diamètre. À l’extrémité sud des remparts émerge la haute flèche de la chapelle Saint-Hubert de style gothique flamboyant, dernière demeure présumée de Léonard de Vinci.
Château de Blois
Avant même de pénétrer dans la cour d’honneur, appréhendez le royal édifice en en faisant le tour pour cerner la complexité du lieu et les « quatre visages de Blois ». La partie la plus ancienne est marquée par l’héritage féodal du temps des comtes de Blois. La salle des États qui date du XIIIe siècle est l’une des plus anciennes salles seigneuriales de France. Si Louis XII marque profondément la physionomie de l’édifice, c’est avec le roi bâtisseur, François Ier, que la Renaissance s’installe.
Château de Chambord
À quatre lieues de Blois, on rencontre le château de Chambord, la folie d’un roi qui n’y habita jamais. Le songe de François Ier, qui meurt en 1547 alors que le chantier est inachevé, demeure à bien des égards une énigme. Chambord deviendra résidence royale avec Louis XIV. Le Roi-soleil aime y chasser et convoquer Molière, qui y crée « Monsieur de Pourceaugnac ».
Château de Villesavin
À proximité de Blois, Chambord et Cheverny, le château de Villesavin conserve la trace du passage des artistes français et italiens, qui s’ingéniaient, juste à côté à la savante édification du palais de François Ier. La filiation est patente. La chapelle, à droite de la cour d’honneur, possède de remarquables fresques murales des XVIe et XVIIe siècles. Le parc de 27 hectares entièrement redessiné en 1820, est peuplé de cèdres de l’Atlas, de séquoias, d’érables, de chênes… et d’un grand potager.