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Le patrimoine naturel de la Normandie n’a d’égal que son patrimoine bâti ! Des charmants villages de l’Eure au front de mer de Deauville, la région réserve à ses admirateurs de jolies surprises d’architecture. Villas luxueuses, chaumières d’antan et jardins fleuris : découvrez ces maisons d’exception.
Les typiques chaumières à colombages
Sur la route des Chaumières, en vallée de Seine (Eure et Seine-Maritime)
La route des Chaumières sillonne le parc naturel des boucles de la Seine en nous plongeant au cœur de la Normandie rurale. Vieux-Port, Aizier, Saint-Opportune-la-Mare, Marais-Vernier... Les villages de charme se succèdent et, avec eux, les habitations traditionnelles de la région. Construites avec des matériaux locaux tels que le bois, la paille, les roseaux, le calcaire ou encore le silex, elles sont reconnaissables à leurs murs en torchis (mélange de paille et de terre) à colombages et aux toits de chaume dont elles tirent leurs noms ; un savoir-faire artisanal perpétué par des générations d’artisans qui constitue l’une des richesses du patrimoine normand.
Romantique à souhait, cette petite bourgade construite sur les bords de la Veules a attiré l’aristocratie puis la bourgeoisie parisienne dès le XIXe siècle. Situé entre terre et mer sur le plateau de Caux, elle offre à ses visiteurs un paysage binaire, où les villas balnéaires se mêlent aux moulins et maisons pittoresques de ce qui était autrefois un modeste village de pêcheurs. Baptisé Veules-les-Roses en 1897, il attire à cette époque une pléiade d’artistes russes qui immortalisent ce spectacle enchanteur : Alexei Bogoliubov et Alexis Kharlamov consacreront des tableaux entiers à ces chaumières typiques de la campagne normande.
Le manoir de Villers et son parc (Seine-Maritime)
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Cette maison normande a vu grandir l’un des plus grands dramaturges français du XVIIe siècle, Pierre Corneille. En 1639, il en hérite de son père et s’y installe pendant plusieurs années avant de quitter Rouen, sa ville natale, pour s’installer à Paris. L’auteur du Cid ne se séparera pas pour autant du domaine familial ; son fils Pierre le fera en 1686, deux ans après la mort de l’écrivain. Depuis, son souvenir n’a cessé d’habiter les lieux. Au lendemain de la Révolution, le descendant du fermier des Corneille rachète la demeure aux enchères, puis c’est au tour du Département d’en prendre possession pour y installer un musée dédié à l’écrivain, en 1874. Le site est ouvert toute l’année.
Le musée Pierre Corneille, près de Rouen (Seine-Maritime)
Cette demeure normande a vu grandir l’un des plus grands dramaturges français du XVIIe siècle,Pierre Corneille. En 1639, il en hérite de son père et s’y installe pendant plusieurs années avant de quitter Rouen, sa ville natale, pour s’installer à Paris. L’auteur du Cid ne se séparera pas pour autant du domaine familial ; son fils Pierre le fera en 1686, deux ans après la mort de l’écrivain. Depuis, son souvenir n’a cessé d’habiter les lieux. Au lendemain de la Révolution, le descendant du fermier des Corneille rachète la maison aux enchères, puis c’est au tour du Département d’en prendre possession pour y installer un musée dédié à l’écrivain, en 1874. Le site est ouvert toute l’année.
Deauville : entre architecture normande et Belle Époque (Calvados)
Imaginé en 1873 par l’architecte Desle-François Breney, à l’aube de ce que l’on nommera plus tard la Belle Époque, le chicissime Cercle de Deauville empreinte encore beaucoup au style pompeux du Second Empire (rotonde, niches, larges ouvertures…). Il sert alors d’annexe au Jockey Club créé à Paris en 1836, réunissant des hommes de la haute société triés sur le volet, propriétaires d’écuries et autres férus de courses hippiques. Aujourd’hui, l’espace accueille diverses manifestations et rencontres culturelles, publiques comme privées.
Cette somptueuse villa aux allures de petit château perpétue le souvenir des heures fastueuses de Deauville, lorsque la station balnéaire accueillait en villégiature l’aristocratie parisienne de la Belle Époque. Le baron Henri de Rothschild en commande la construction en 1907. Il la fait ériger en lieu et place de la ferme du Coteau, qui appartenait à la famille de Gustave Flaubert. Pour la dessiner, Georges Pichereau s’inspire de l’architecture traditionnelle du pays d’Auge et y ajoute des détails coquets tels que tourelles, bow-windows et briques disposées en damiers sur le mur du rez-de-chaussée. Appartenant à la ville de Deauville depuis 1980, la villa (ouverte en été) porte toujours le nom de son dernier propriétaire, l’Américain Ralph Beaver Strassburger. À l’intérieur, le mobilier et la décoration sont d’époque.
Le saviez-vous ?
En 1942, afin de se protéger des bombardements, les Allemands occupant la villa réquisitionnée y font construire un souterrain de 45 mètres de long.
Claude Monet acquiert sa propriété de Giverny en 1890, après s’y être installé avec sa famille sept ans plus tôt. Ne se prétendant bon qu’à peindre et à jardiner, il y aménage tous les éléments extérieurs que l’on connaît : le clos normand, le jardin d’eau d’inspiration japonaise, son étang surmonté d’un pont en bois... Et il plante les nénuphars qui lui inspireront sa série de Nymphéas. Si le jardin est baigné de couleurs, sa maison ne l’est pas moins ! Outre sa façade aux murs rosés et aux volets vert émeraude, le visiteur découvre à l’intérieur une enfilade de pièces au charme ancien : la cuisine recouverte de carreaux bleu et blanc, la salle à manger d’un jaune lumineux, le petit salon bleu, le salon-atelier, la chambre du peintre et son cabinet de toilette, etc.
Comment s'appellent les maisons normandes traditionnelles ?
Les maisons traditionnelles normandes s'appellent les chaumières pour la bonne raison qu'elles disposent de toits de chaume. Autrement dit, un mélange de seigle, de roseaux ou de blé fixé sur une structure en bois.
Quelles pierres les caractérisent caractérisent ?
En fonction de la zone géographique, les constructeurs ont pris l'habitude d'utiliser des pierres locales comme le granit, une pierre non poreuse est donc résistante à l'eau et aux tâches, ou encore le calcaire dit aussi "pierre de Caen" et qui trouve sa source à la carrière de Cintheaux, au sud de la ville éponyme.