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// Document is already ready, call the callback directly
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// All modern browsers to register DOMContentLoaded
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&& tcData.purpose.legitimateInterests[7] === true
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tcData.purpose.legitimateInterests[2] === true
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&& tcData.purpose.legitimateInterests[10] === true
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Dans le chemin d’Arles, au cœur des Pyrénées se trouve la vallée d’Aspe. Longtemps avant les pèlerins, elle était empruntée par les légions romaines. Sans parler des bergers, toujours là à la belle saison. Le col du Somport, point culminant des chemins de Compostelle, a toujours été un axe de passage entre Béarn et Aragon. Suivez le sillage de la Vallée d'Aspe, étape importante de la Via Tolosana.
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Découvrir la vallée d'Aspe
Encore très sauvage, la vallée s’étire le long du gave d’Aspe sur près de quarante kilomètres. Elle pénètre profondément dans la chaîne pyrénéenne pour aboutir au col du Somport. C’est le pont d’Escot qui marque la véritable entrée dans cette vallée, qui a, de tout temps, constitué un axe de passage entre le Béarn et l'Aragon. Il vous faut désormais vous glisser d'une rive à l'autre, soit par des sentiers de chèvres, soit par des chemins forestiers.
Arrivé au col du Somport, soufflez un bon coup :
Compostelle n'est plus qu'à 840 kilomètres !
Sarrance, un important lieu de pèlerinage au XIVème siècle
Le GR653 passe par le village de Sarrance qui fut un important lieu de pèlerinage au XIVe siècle. Sa Vierge noire, conservée au musée, fut l’objet d’une importante dévotion. Dans une chapelle de l’église, des panneaux polychromes sculptés racontent la légende de ce visage taillé dans une pierre sombre, de facture étrangement simple, découverte au bord du gave par un berger et un pêcheur de truites à la fin du XIIe siècle. Les chanoines d’Oléron tentèrent de la placer dans leur cathédrale, mais elle revint à Sarrance où l’on bâtit le sanctuaire...
Une route en lacets conduit au col du Somport
1632 mètres d’altitude, point culminant de tous les chemins de Compostelle. La montée est physique, mais l’effort est récompensé par la beauté des paysages, une fois aux portes de l’Espagne. Respirez un grand coup, il vous reste à effectuer... 840 kilomètres !
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Fort de Portalet
Le Portalet : une étape incontournable
Après les villages d’Osse-en-Aspe, vous découvrez Bedous et ses belles maisons aux linteaux de marbre sculpté. Puis vous voilà à Borce, magnifique village médiéval vraiment bien conservé, aux maisons typiquement béarnaises. Le pèlerin quittant Borce va devoir franchir un verrou naturel encadré de hautes falaises, celui du Portalet (petite porte ) : le voyageur passa en effet pendant des siècles sous un vrai porche où étaient perçus les droits de péage et de douane. Construit de 1838 à 1848, à une altitude de 794 mètres, le fort du Portalet dresse ses murs austères à 150 mètres au-dessus du gave. Saint-John-Perse (soldat Alexis Léger) y fut en garnison. Léon Blum, Édouard Daladier, le général Gamelin y furent détenus sous Vichy, et le maréchal Pétain à la Libération. Après le fort, le sentier s’envole vers les 1 000 mètres de dénivelés.
1772. La falaise du ravin des gorges de l'Enfer est creusée sur 900 mètres pour le transport du bois des bateaux de guerre de Louis XV.
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Canfranc, en Espagne. Vous franchissez le pont des Pèlerins (el puente de Abajo), un ouvrage roman à arche unique sur le rio Aragon. La route continue vers Jaca.
Le col garde de son hospice Sainte-Christine, fondé par Gaston IV de Béarn au XIIe siècle, quelques vestiges de l’église ainsi que des bâtiments alentour. Mais bientôt, on foule le sol espagnol. Le chemin longe les méandres de la rivière Aragon à travers un paysage de toute splendeur. En redescendant, vous arrivez à Jaca qui surplombe une vaste plaine. La petite cité, très animée, possède la cathédrale San Pedro, du XIe siècle, qui serait l’un des premiers monuments romans d’Espagne. L’édifice vous étonnera par son ampleur.