');
var target = document.getElementById("facebook-box");
var scripts = target.getElementsByTagName("script");
while (scripts.length) {
var script = scripts[0];
script.parentNode.removeChild(script);
var newScript = document.createElement("script");
if (script.src) {
newScript.src = script.src;
} else if (script.textContent) {
newScript.textContent = script.textContent;
} else if (script.innerText) {
newScript.innerText = script.innerText;
}
document.body.appendChild(newScript);
}}
if (document.getElementById("pinterest-box")){
document.getElementById("pinterest-box").style.display = "block";
document.getElementById('pinterest-box').insertAdjacentHTML('afterbegin', 'Visitez le profil Détours en France sur Pinterest.');
var target = document.getElementById("pinterest-box");
var scripts = target.getElementsByTagName("script");
while (scripts.length) {
var script = scripts[0];
script.parentNode.removeChild(script);
var newScript = document.createElement("script");
if (script.src) {
newScript.src = script.src;
} else if (script.textContent) {
newScript.textContent = script.textContent;
} else if (script.innerText) {
newScript.innerText = script.innerText;
}
document.body.appendChild(newScript);
}}
}
function ready(callbackGetAds) {
if (document.readyState !== 'loading') {
// Document is already ready, call the callback directly
callbackGetAds();
} else if (document.addEventListener) {
// All modern browsers to register DOMContentLoaded
document.addEventListener('DOMContentLoaded', callbackGetAds);
} else {
// Old IE browsers
document.attachEvent('onreadystatechange', function() {
if (document.readyState === 'complete') {
callbackGetAds();
}
});
}
}
ready(function() {
if (typeof(__tcfapi) !== "undefined"){
__tcfapi('getTCData', 2, function (tcData, success) { if(success) {
if((tcData.purpose.consents[2] === true
&& tcData.purpose.consents[7] === true
&& tcData.purpose.consents[9] === true
&& tcData.purpose.consents[10] === true) || (
tcData.purpose.legitimateInterests[2] === true
&& tcData.purpose.legitimateInterests[7] === true
&& tcData.purpose.legitimateInterests[9] === true
&& tcData.purpose.legitimateInterests[10] === true
)){
get_ads();
} else {
__tcfapi('addEventListener', 2, function (tcData, success){
if(success && tcData.eventStatus === 'useractioncomplete') {
if((tcData.purpose.consents[2] === true
&& tcData.purpose.consents[7] === true
&& tcData.purpose.consents[9] === true
&& tcData.purpose.consents[10] === true) ||(
tcData.purpose.legitimateInterests[2] === true
&& tcData.purpose.legitimateInterests[7] === true
&& tcData.purpose.legitimateInterests[9] === true
&& tcData.purpose.legitimateInterests[10] === true
)){
get_ads();
}
}
});
}
if(tcData.purpose.consents[1] === true){
get_social_networks();
}
}});
}
});
});
//-->
Les informations vous concernant sont destinées à l'envoi des newsletters afin de vous fournir ses services, des informations personnalisées et des conseils pratiques. Elles sont conservées pendant une durée de trois ans à compter du dernier contact. Ces informations pourront faire l’objet d’une prise de décision automatisée visant à évaluer vos préférences ou centres d’intérêts personnels. Conformément à la loi française « Informatique et Libertés » n°78-17 du 6 janvier 1978 modifiée et au Règlement Européen 2016/679, vous pouvez demander à accéder aux informations qui vous concernent, pour les faire rectifier, modifier, ou supprimer, pour vous opposer à leur traitement par mail à dpo@uni-medias.com ou par courrier à l'adresse suivante : Uni-médias, à l'attention du DPO, 22 rue Letellier - 75015 - Paris, ou pour demander leur portabilité, en écrivant par courrier à l'adresse suivante : Uni-médias, à l'attention du DPO, 22 rue Letellier - 75015 - Paris ou par mail à dpo@uni-medias.com. Vous pouvez également définir les conditions d'utilisation, de conservation et de communication de vos données à caractère personnel en cas de décès. Pour toute demande relative à vos données personnelles, vous pouvez contacter le délégué à la protection des données à l’adresse mail suivante : dpo@uni-medias.com, ou introduire une réclamation auprès de la Commission Nationale Informatique et Libertés.
Criques secrètes et longues plages, falaises exposées au grand large et vastes baies abritées, villages campagnards et ports de pêche. Belle-Île-en-Mer présente un bel intérêt : elle distribue tous les types de paysages bretons. Elle ne mesure que dix-sept kilomètres sur neuf dans ses plus grandes dimensions ; aussi, en deux jours à vélo, vous visiterez tous les sites.
belle-ile-en-mer-port-sauzon-bi_sauzon17.jpg
Le nord et l'ouest de Belle-Île
phare-sauzon-belle-ile-en-mer-det_bi_sauzon08.jpg
Depuis le débarcadère, suivez les quais et longez l’arrière-port jusqu’à l’écluse du bassin à flot. La route de Sauzon la traverse mais, avant de vous rendre au petit port si pittoresque, le détour s’impose par la pointe de Taillefer, où se dresse un sémaphore désaffecté, et par la plage de Port-Fouquet au fond d’une étroite crique. Dirigez-vous ensuite vers Sauzon, en suivant le balisage cycliste via Le Pavillon et Quinenec, puis la D30. Cette route atteint Sauzon par l’extrême fond de son arrière-port. S’il est devenu célèbre grâce aux cartes postales – le phare planté sur le quai à côté d’un hôtel au toit de tuiles éclatantes sur des murs blanchis à la chaux –, le port de pêche n’a rien perdu de son authenticité. Mais le meilleur point de vue sur Sauzon se trouve sur la rive opposée : à Port-Blanc, où conduit un sentier longeant l’arrière-port ; il n’est accessible qu’aux seuls piétons.
Depuis Sauzon, un itinéraire cycliste celui-là, et balisé, mène à la pointe des Poulains via Bordéry, Deuborh puis la route D25. Vous êtes devant l’ancienne résidence de Sarah Bernhardt, dominant le phare des Poulains. En 1894, la tragédienne, tombée sous le charme de Belle-Île, y achète un fortin qu’elle aménage. Elle désire faire partager son petit paradis à ses amis et, comme le fort est trop petit pour les accueillir, elle fait bâtir une première villa à côté (Les Cinq Parties du monde), puis une seconde (Lysiane), avant d’acheter un manoir (Penhoët) – lequel sera détruit pendant la Seconde Guerre mondiale. Aujourd’hui, Les Cinq Parties du monde est un exceptionnel espace muséal qui raconte la passion de Sarah Bernhardt pour l’île. Quant au fortin, il a été refait à l’identique, avec un grand sens du détail. La villa Lysiane, elle, a été restaurée par le Conservatoire du littoral et sert d’accueil aux visiteurs du site. Là, vous pourrez consulter l’horaire des marées pour savoir si le passage vers la presqu’île des Poulains est possible. Si c’est basse mer, n’hésitez pas à vous rendre au phare et passez par la maison du gardien transformée en centre d’information sur la côte.
Pour atteindre les sites de la Côte sauvage, comme on appelle le rideau de falaises qui constituent le littoral occidental de l’île, reprenez la route par laquelle vous êtes venu jusqu’à Bordéry. Sur la droite, le balisage indique la direction de Logonnet puis celle de Borcastel. Laissez votre vélo sur le parking de la plage de Ster Vraz. Vous marchez à présent sur le sentier côtier qui longe cette anse magnifique – un vrai fjord – et donne sur l’étroite et profonde crique de Ster Ouen. En poursuivant votre chemin le long de la côte, vous atteindrez la grotte de l’Apothicairerie. Une route y conduit les autocars de touristes mais, en fait, l’entrée dans la grotte n’est plus possible. Le plus beau, en réalité, se trouve à la pointe de Penmarc’h, qui marque l’entrée de Ster Vraz. Cette belle et grande balade vous demandera une heure et demie de marche... Ayant repris le vélo, revenez jusqu’à la route D30, où vous tournez à droite. Suivez maintenant le balisage cycliste vers Kerguec’h, Magorlec, Borderun, Bordelann, Kerlédan, Bormené et le côté Nord de la plage de Donnant. Ouverte au grand large entre deux falaises, cette plage est aussi belle que dangereuse ! Les vagues et le courant interdisent la baignade. Mais quel spectacle ! Pour revenir au Palais, reprenez l’itinéraire balisé jusqu’à Anvort et le menhir Jean au bord de la D25. Suivez cette dernière sur la droite jusqu’au carrefour suivant, marqué par un calvaire. Tournez à droite, et encore à droite après 500 m. Le balisage cycliste conduit alors au Palais par le hameau de Bordustart et le lieu-dit Le Potager.
La découverte des parties Sud et Est de l’île commence sur la plage de Donnant, déjà approchée la veille. Mais vous y arrivez par un nouvel iti- néraire. Suivez les quais jusqu’au fond du port : continuez dans cette direction par la route qui monte vers Kersablen et l’aérodrome. Après avoir traversé la route D25, poursuivez en face jusqu’au hameau de Cosquet. Tournez à droite pour atteindre la plage de Donnant mais par son côté Sud, cette fois : diffé- rent, il mérite le coup d’œil tout autant !
Revenez vers le hameau de Donnant. Tournez à droite pour atteindre Borzose. Prenez à nouveau la route à droite jusqu’au hameau du Vazen où, sur la gauche, une petite route puis une piste mènent au site des Aiguilles de Port-Coton. Sauf si vous avez opté pour un vélo à assistance électrique, après le premier fjord traversé, la pente à gravir est rude. Le décor, lui, est magnifique. Les étonnants rochers pointus, déchiquetés par l’érosion, valent d’être admirés à contre-jour : c’est-à-dire en fin d’après-midi. Vous comprendrez alors pourquoi ils ont inspiré trente-six toiles à Claude Monet...
Une large route vous conduit à Kervilahouen, en passant par un point de vue exceptionnel sur l’anse de Port-Goulphar. Au fond de la crique se trouvent une plage et un mouillage utilisé par les pêcheurs de homards. À l’entrée de Kervilaouen, vous ferez ensuite un aller-retour au Grand Phare, dont le vrai nom est Goulphar. Achevée en 1835, sa tour haute de 52m supporte une lanterne et une galerie, à laquelle on accède au bout de 247 marches. Le panorama sur l’intérieur de l’île et la Côte sauvage est tout simplement époustouflant. De retour à Kervilahouen, tournez à gauche et immédiatement à droite vers Bordelouet : au premier croisement, prenez à droite vers Domois que vous éviterez pour continuer tout droit jusqu’au sémaphore du Talut. Il y a une très belle vue sur les falaises, où s’égosillent les oiseaux de mer. N’approchez pas le bord de la falaise, les ruptures de pente soudaines y sont sournoises, bien plus que dans le nord de l’île.
Un calvaire et un moulin
Revenez à Domois, où vous tournerez à droite vers Bornor puis Kérel. En contrebas, la grande plage de Port Kérel, sertie dans la falaise sauvage, offre une de baignade tranquille. On y accède facilement via Grand Village, en faisant un aller-retour. Ensuite, suivez le balisage qui flèche le bourg de Bangor, mais en prenant la première route à droite : elle conduit à Calastren, où vous tournez à gauche. Après avoir passé les maisons de Bortémon, vous arrivez à un croisement. Admirez le calvaire. Tournez alors à droite et passez Kervarijon puis Borlagadec pour trouver Herlin. À droite, une piste descend jusqu’à la plus belle plage de toute la côte Sud de Belle-Île. Remontez à Herlin, où le balisage cycliste vous guide ensuite vers le Grand-Cosquet et Ti-Sévéno. Prenez à droite vers Pouldon. Ici encore, une piste conduit à un autre bel endroit : le port de Pouldon. De retour au hameau, tournez à gauche sur la voie parfaitement rectiligne qui mène au moulin de Bourhic. Vous y tournerez à gauche pour remonter jusqu’à la route D 25 : prenez-la sur la droite.
À Locmaria, voyez la belle église romane crépie de blanc sous son clocher carré couvert d’ardoises. Puis continuez tout droit par la rampe qui descend sur la plage de Port-Maria. Vous y découvrirez la cale aménagée pour les pêcheurs et l’ancien fort transformé en villa. De Locmaria, le balisage vous mène à Port an Dro par Borderenne, Kerzo et Borderhouat. Cette jolie plage bien abritée fut protégée par deux fortins à l’époque (fin du XIXe siècle), où on craignait un débarquement anglais ! Ce qui n’empêche pas qu’un point de vue voisin ait été baptisé « Rocher de la reine Victoria » ! Il ne vous reste alors plus qu’à revenir au Palais par la route D30a, laquelle longe la côte en passant par deux grandes plages superbes : les Grands Sables et Port Yorc’h qui possèdent l’avantage d’être parfaitement abritées de la houle du large, si dangereuse sur la Côte sauvage.